dimanche 6 mars 2011
Comment te dire M'man , c'est plus fort que moi malgrès moi je peux pas t'écoute , j'ai besoin de te montré que je veux pas etre ce que t'es, je voudrais te dire je t'aime M'man mais je refuse ta possition , te ressemblé , je peux pas accepté l'inacceptable de ta relation avec cette homme qui est mon père, je t'en veut d'obéir toujours je sais que ta pas le choix, mais cette peur que tu transpires j'en veut pas, j'ai besoin de me battre c'est vital j'ai besoin de ça, l'ouvrir tout le temps sinon rien, sert a rien, vivre sans sa , je veut pas , je peut pas plutôt crevée, mais M'man c'est une médaille pour mutilé de guerre qui faudrais te remettre, jamais de ma vie dans l'épreuve de la douleurs j'ai vu une femme en passée par autant de position, je t'ai vu a la verticale , a l'horizontal, par terre, sur le ventre, sur le dos, hématomes en pleine face, trempe de peur , te cacher dans les chiottes , devant l'évier , ensanglanté ,crane ouvert , bouche pendante , menaçante, le dessous de plat en verre dans les main , vouloir se défendre , rapidement allongé, aggriper au pieds de table , se faire traîner, un gros trou dans les cheveux , énorme poignée de mèches dans les main d'père, rage monté, genoux en sang , supplier , prie, pourra chèrement payer, souffrance sans prix, statut de mère durement vécu, préserver, défendre, faire le moins de dégâts possibles pour les autres vies au moins... Mais rester maternelle avant tout. a lui le père sa le dérange pas de te défoncé, sa veut rien dire , il veut pas comprendre , trop encombrant, jamais soucier par son rôle d'homme. Mais fatiguée, usée maintenant t'es Maman, mais se terrer dans ce mutisme t'es difficile, le semblant de Paix, le Bonheur qu'on te fait bouffer de l'extérieur, je vois bien que tu t'y fais pas. Je sais que c'est de la dignité, devant moi t'as toujours nié, jamais avoué, mais seule, j'entends les cris de ton cœur devenu trop bruyants. Alors c'est la vie , c'étais ça ta vie, alors on peut vivre de cette façon sans que sa dérange personne, comme si ton existence a si peu de valeur ,tellement inexorable, tellement rien du tout, mais tu pourrais crever dans cette incomprehention , crever dans le silence , crever dans l'indifference général, crever dans l'idée que toi et tes senblables se courberons toujours et encore. Dure constatation, mais maman même si maintenant ta bouche est close, ta face, ta gueule, ton visage est marqué par le passé, & sur ton front se lit que le malheur, la souffrance t'ont traversée, mais pour ça t'as pas besoin de parler... Sous mes yeux ta vie se déroule, mais tu sais moi jveut pas devenir complice, j'veut pas colaboré au putain de rôle que le père tente de tenir, tout seul il peut se convaincre que ce n'est pas de sa faute, mais moi rien, que dalle, j'arrive pas a gober. J'avalerai rien, je ne contribuerai pas, j'lui rappellerai, j'y veillerai, Maman... J't'aime... Je t'aime.
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